Les jeunes hardeurs aux sexes surdimensionnés sont en passe de devenir une authentique spécialité britannique comme en témoignent la dernière production d’Eurocreme et celle de Rudeboiz dont les films intitulé "Rudeboiz" va vous en boucher un coin !!
C’est le meilleur de Londres, celui que tout le monde s’arrache, celui dont chacun sollicite les services… Tu penses ! Sitôt livré, le client est embrassé, caressé, suçoté, branlé, fucké et ainsi de suite. Dans ces conditions, il n’est pas étonnant que Danny soit une star (il est réellement coursier à Londres) et fasse la nique à UPS… enfin dans son créneau. Rapide (on vous prévient, le client n’a pas le temps de s’attacher), Danny est plutôt beau mec, fin, élancé et particulièrement bien monté. Cette perle rare est la dernière vedette en date d’Eurocreme. Histoire de confirmer sa réputation d’excellence, le studio britannique, cornaqué avec talent par Max Lincoln, lui a adjoint treize acteurs (dont beaucoup de débutants motivés) que le beau Danny rencontre au gré d’un scénario un peu lâche mais suffisamment distrayant (voir le personnage de Nasty Nick, dispatcheur pas très sympa des courses de Danny) pour plaire. Très bien filmé, particulièrement soigné dans les éclairages "Bike boyz" est un bel hommage à la tonicité des jeunes pédés d’outre-manche. Il trouve son pendant avec "Rudeboiz". "Rudeboiz", c’est un peu l’univers de "Beautiful thing" revisité par un fou de sexe dans les mains duquel on aurait placé sept jeunes pédés de Liverpool particulièrement obsédés. Cela donne des plans à deux mais souvent à plus où les survêts dévoilent des sexes qui fileront des complexes à la plupart d’entre-nous. Rondement mené — on se dit bonjour puis on se suce —, le film impose un tempo d’enfer. C’est bien simple : vous aurez l’impression de faire partie de la bande dans la scène finale de partouze à moins que la taille trop raisonnable de votre sexe vous ramène aux dures lois de la réalité.
D'habitude lorsqu'un politicien est pris en flagrant délit avec une pornostar sa première réaction est de nier. Mais pas Paul Koering. Ce sénateur républicain de l'Etat du Minnesota est
ouvertement gay et a décidé d'assumer son orientation sexuelle autant que ses rendez-vous galants. Alors quand il invite la star porno Brandon Wilde à dîner dans un steakhouse et que la presse
s'en émeut, le sénateur déclare ne pas comprendre où est le problème : «Je ne vois rien de mal à sortir avec lui. Est-ce que je pense qu'être une pornostar est la meilleure des choses ? Non. Mais
c'est son choix. Je pense que c'est un mec bien.»
Sans doute Koering aurait-il souhaité plus de discrétion autour de son dîner mais c'est le pornoboy qui a vendu la mèche en indiquant sur sa page twitter «LOL dans 45mins je vais diner avec le
Sénateur!» ce qui n'a pas manqué d'intriguer ses followers!
Vu les photos de ses exploits, il a l'air de s'amuse carrement le sénateur !!
Agé d'une vingtaine d'années, Brandon Wilde s'est illustré dans des vidéos hardcores pour des sites comme Cruiser Boys ou My Hot Brother's friend. Le jeune acteur est facilement identifiable grâce à ses tatouages en forme de pattes de d'ours ? sur sa poitrine. Les deux hommes se seraient rencontrés lors d'un pique-nique organisé en marge de la gay pride. La question est: y aura-t-il un second rendez-vous ? «Je lui ai effectivement demandé de diner avec moi la semaine prochaine» a indiqué Monsieur le Sénateur! Hélas, les instances républicaines ne bénissent pas cette idylle naissante. Le président du parti dans le Minnesota s'est fendu d'un communiqué lapidaire: «Au lieu de se concentrer sur la création d'emplois, Paul Koering a fait preuve d'une incroyable pauvreté de jugement en passant du temps avec un escort et acteur porno.» Et d'ajouter que le parti Républicain ne le soutiendra pas lors de la campagne pour sa réélection au poste de sénateur.
Printemps 2010 : le studio X français Menoboy organise la première télé-réalité basée sur une (chaude) semaine de cohabitation dans une villa bretonne.
Les aventures qui ont rassemblé Tybo Calter, Afanasiy Volk, Carlo Sata, Kenny Carlson, Matt Lopez, Jo Tiger, Chris, Freddy et Christophe ont rassemblé de centaines de spectateurs via Internet,
mais combien sont passés à côté de cette expérience inédite?
Futé, Menoboy a donc imaginé faire un double DVD de cette aventure pour ceux qui l'ont manquée ou pour en garder un souvenir pour ceux qui l'ont suivie.
"Vis ma coloc", c'est 6 heures de vidéo au total avec les meilleurs moments de l'expérience, 7 scènes hard (dont l'inénarrable "démon qui ma bite" avec Tybo et Afanasiy) et les baises amateurs
filmées par les colocataires eux-mêmes...
Et franchement, on ne s'ennuie pas à visionner l'ensemble. Tous les codes de la télé-réalité sont là pour ceux qui affectionne le genre et ceux qui ne jurent que par les scènes de cul en auront
aussi pour leur argent car du sexe, il y a en a (encore plus que dans le télé-réalité hétéro)!
Le principe fonctionne si bien qu'il revient en partenariat avec PinkTv (à partir du 9 octobre prochain) pour une saison 2 sous le titre "ZHOOM"... Avec 9 colocataires, 2 maisons, des
confessions, de la séduction et sa suite...
Jason Pitt, c'est ce jeune blondinet de vingt ans capable de toutes les audaces capillaires. Ce pornoboy excelle dans les rôles de minous (très!) passifs. Mais dans le X, les carrières sont usantes! Il y a quelques jours Jason annonçait sur son blog que pour lui le porno, c'était fini! Il désirait quitter une industrie qui selon lui «n'en a rien à foutre des gens qu'elle emploie !» ajoutant même que «de plus en plus de gens autour de moi deviennent séropositifs et je connais très peu de modèles capables de faire des plans pour l'avenir.»
Little Big League 4: Grand Slam, le nouveau film de ChiChi LaRue, devait être son chant du cygne avant un retour à la case «école». Finalement, Jason a bien réfléchi et il trouve que prendre sa retraite à 20 ans c'est un peu tôt! Il a donc décidé de monter son propre label. Décidément quitter le porno business n'est pas une chose aisée ! Plus d'infos sur le blog de Jason Pitt pour découvrir sa jolie tranche de vie ...
